Bon, c’est décidé, je m’attèle à déguster les vins… Fini de les boire sans faire plus d’effort que ça pour les détailler ! Comment faire ? Suivez cette synthèse qui vous donne les premières clés !

 

Attention, ces conseils sont valables pour une véritable dégustation, ce qui, pour certains points, va à l’encontre des principes d’accords mets et vins (qui par nature transforment votre perception du vin)… 

 

Le verre :

N’oubliez pas qu’un verre adapté fait la différence ! Assez large pour permettre la volatilisation des arômes, la forme d’un verre devrait en maximiser la quantité qui arrive au nez.

 

L’ordre idéal de dégustation :

blanc sec/minéral => blanc aromatique/fruité => rosé => rouge léger/fruité => rouge tannique/boisé => rouge charpenté/épicé => moelleux.

L’astringence due aux tanins a un effet d’accumulation sur la langue, rincez bien la bouche avec de l’eau entre chaque échantillon de vin rouge.

Essayez de séparer les dégustations de vins tranquilles et de vins effervescents.

 

Les techniques en bouche :

Grumer le vin, mâcher le vin afin d’en faire ressortir tous les arômes.

 

Les mets à proscrire, les aliments meurtriers :

Certains aliments ne sont pas compatibles avec la dégustation pure d’un vin ; de manière générale :

Attention à la vinaigrette (comme  son nom l’indique !), méfiez-vous de l’assiette de crudité, fuyez le surplus d’ail, snippez artichauts, endives, poireaux et épinards. Enfin, gardez vos pamplemousses pour le matin !

Bannissez le vin rouge avec le poisson (ou les crustacés) car le poisson donne un goût métallique aux tanins.

Evitez le blanc sec/minéral avec des desserts sucrés.